INTELIGENCIA CANADIENSE

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kilo009
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Criminal Intelligence Service, Canadá.

Mensaje por kilo009 »

Esto es un reportaje anual, concretamente el de 2001 sobre Crímen Organizado en Canadá. Está bastante completo:

http://www.cisc.gc.ca/annual_reports/do ... report.pdf

2002:

http://www.cisc.gc.ca/annual_reports/do ... t_2002.pdf

La página del Servicio de Inteligencia Criminal canadiense es la siguiente:
http://www.cisc.gc.ca. Sería interesante estudiar este servicio y compararlo con lo que podrá llegar a ser en un futuro el Centro de Inteligencia contra Crímen Organizado español.

2003:

http://www.cisc.gc.ca/annual_reports/an ... 2003_e.htm

2004:

http://www.cisc.gc.ca/annual_reports/an ... 2004_e.htm

2005:

http://www.cisc.gc.ca/annual_reports/an ... 2005_e.htm
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kilo009
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Mensaje por kilo009 »

Fall of a family - Police close in on Canada's mafia
Italian organised crime in Canada suffered a serious setback in November 2006. Operation Colisée (see box), by the Royal Canadian Mounted Police (RCMP) against the Montreal-based Rizzuto family led to 73 arrests and was one of two significant blows to the organisation, the most prominent mafia family in Canada according to mafia experts Antonio Nicaso and Lee Lamothe
Duro golpe a la mafia italiana afincada en Canadá, con 73 arrestos practicados por la Policía montada.
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ZULU
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INTELIGENCIA CANADIENSE

Mensaje por ZULU »

Dimite el ministro de Exteriores canadiense tras comprometer documentos confidenciales


http://www.elmundo.es/elmundo/2008/05/2 ... 1211872872
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Mensaje por ZULU »

Servicio de Seguridad e Inteligencia del Canadá

http://www.cisc.gc.ca/
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kilo009
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Mensaje por kilo009 »

No lo confundas con el CSIS (Canadian Security Intelligence Service), la similitud en Canadá al CNI español.

Es el CSIS el que se dedica a la lucha antiterrorista, contraespinaje, trabajo contra la proliferación de armas NBQR, crímen organizado transnacional...
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kilo009
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Mensaje por kilo009 »

Interrogatorio del CSIS a Omar Khadr , cazado por los americanos en Afganistán y trasladado a Guantánamo
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Re: INTELIGENCIA CANADIENSE

Mensaje por LIVIO2000 »

El SCRS (Service canadien du renseignement de sécurité) esta llevando a cabo una campaña de reclutamiento de personal. Fuente RADIO-CANADA


Service secret canadien
À la recherche d'agents
Mise à jour le mardi 23 décembre 2008,
Édifice du SCRS (archives)

Le Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS) mène actuellement une campagne de recrutement de personnel. Il cherche des gens spécialisés dans les finances, des agents de renseignements et des informaticiens.
Le service secret canadien renouvelle ses effectifs pour faire face aux nombreux départs à la retraite des baby-boomers. En mars 2007, Ottawa a alloué 80 millions de dollars supplémentaires sur deux ans à l'organisme pour maintenir sa capacité opérationnelle.
Le SCRS mène donc une campagne pour pourvoir plusieurs postes, particulièrement ceux d'agents de renseignements. « Le service a besoin de gens aux antécédents divers », précise Manon Bérubé, porte-parole du SCRS.
Toutefois, n'entre pas qui veut au sein du service secret canadien : l'an dernier, sur les 6000 candidatures reçues, 97 ont été retenues. Les futurs employés doivent se soumettre à une enquête rigoureuse avant d'être embauchés. Un délai d'un an peut s'écouler avant qu'une personne soit recrutée, surtout si elle a vécu à l'étranger.
Même si les activités du service ont été critiquées par plusieurs dans le dossier touchant la sécurité nationale, le SCRS figure parmi les 100 meilleurs employeurs au pays et les 25 meilleurs dans la région d'Ottawa-Gatineau.


.- Saludos
LOS OJOS SE FIAN DE ELLOS MISMOS, LAS OREJAS DE LOS DEMAS
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Re: INTELIGENCIA CANADIENSE

Mensaje por ZULU »

Descubren una red china de espionaje cibernético contra el Dalai Lama y diversas embajadas

http://www.abc.es/20090329/internaciona ... 91750.html
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Re: INTELIGENCIA CANADIENSE

Mensaje por Oraculo »

Le Canada infesté d'espions

Faute d'intérêt du gouvernement fédéral, le Canada est devenu depuis la fin de la guerre froide une terre fertile pour les espions de partout sur la planète qui ont tout le loisir de voler nos secrets les plus intimes. Des centaines d'agents chinois, russes, iraniens et autres œuvrent sur notre territoire en toute impunité et leurs activités subtilisent de 10 à 12 milliards de dollars et des milliers d'emplois par an à notre économie.

Ces troublantes révélations sont l'essence même du brûlot Ces espions venus d'ailleurs, écrit par le journaliste Fabrice De Pierrebourg et Michel Juneau-Katsuya, un ex-agent du Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS). Le livre est bourré d'anecdotes et de faits dignes des romans d'espionnage les plus tordus qui démontrent l'existence de réseaux d'espionnage économique, industriel et militaire et d'ingérence dans la conduite des affaires canadiennes.

Les deux auteurs n'y vont pas par quatre chemins pour dénoncer la situation : « Tous les dirigeants des partis politiques fédéraux au pouvoir ont successivement ignoré le problème, alors que ce dernier prenait de l'ampleur. (...) Parent pauvre, l'espionnage ressemble un peu aux aqueducs et aux égouts vieillissants de nos villes que nos élus rechignent à rénover parce qu'ils sont bien moins sexy à inaugurer qu'un parc ou un hôpital. »

Budgets faméliques

Le résultat, constatent-ils, est que le budget des services de contre-espionnage a fondu comme neige au soleil, à un point tel que les équipes de filature chargées de suivre des agents étrangers potentiels ne travaillent pas le week-end. Mais encore, la législation est tellement déficiente que si, par miracle, une personne est arrêtée pour espionnage, elle s'en tirera avec une tape sur les doigts.

« Les lois canadiennes sont inadéquates pour protéger le pays », explique Fabrice De Pierrebourg en entrevue.

Espionnage 101

Comment les autres pays s'y prennent-ils pour voler nos secrets ? « La grande majorité des espions qui sévissent au Canada le font sous couvert de la protection diplomatique. Cette approche est utile car elle permet aux diplomates de rencontrer de manière tout à fait légitime des citoyens canadiens qui œuvrent dans tous les secteurs de la société (...). Mais la raison principale est que, en cas de pépin, l'espion étranger pourra toujours se servir de l'immunité diplomatique dont il jouit en vertu de la Convention de Genève. S'il commet un crime, d'espionnage ou autre, il ne sera pas traduit devant la justice canadienne, mais purement et simplement expulsé du pays où il était délégué. »

L'essai de 358 pages nous apprend notamment que le gouvernement de la Chine et son service secret sont particulièrement actifs au Canada. Assez pour occuper 50 % du temps des agents du SCRS chargés de détecter les pays qui font entrer des agents pour mener des opérations clandestines.

Ainsi, la représentation diplomatique chinoise au Canada est-elle de 120 personnes, soit deux fois plus de personnel diplomatique qu'aux États-Unis. Les auteurs notent également la présence de quatre instituts Confucius en sol canadien, dont un à Montréal. Selon leur analyse, ces institutions − censées être des vitrines de la culture chinoise − serviraient en réalité à « vendre » une image douce et gentille de la Chine.

Vladimir surveille (lui aussi)

La Russie n'est pas non plus en reste. L'essai nous démontre que la chute du mur de Berlin n'a eu pratiquement aucun effet sur les activités d'espionnage de l'ex-URSS, et encore moins depuis que Vladimir Poutine rêve de regagner l'influence et le pouvoir d'antan. Ses espions s'intéressent à des sujets aussi variés que l'avenir des vieux sous-marins de la flotte canadienne et les activités de surveillance militaire canado-américaine en Arctique.

« Les conflits Est-Ouest ne se sont pas estompés avec la chute du mur de Berlin, note Fabrice De Pierrebourg. La nature a horreur du vide. Dans les années 1990, le KGB renaît de ses cendres, et les services secrets russes ont profité des coupes de budgets au Canada. On est passé d'un conflit militaire à un conflit économique. (...) Et avec le 11-Septembre, le terrorisme a siphonné beaucoup d'argent à la lutte à l'espionnage. Avant, les stars du SCRS étaient les chasseurs d'espions. Maintenant, ce qui est plus spectaculaire, c'est la lutte au terrorisme. »
Robert Philip Hanssen, une taupe arrêtée par le FBI en 2006.

Exemples à l'appui, les auteurs font état de l'arrestation de taupes dans les années 1980, 1990 et 2000, dont celle de Robert Philip Hanssen par la FBI en novembre 2001. Et l'arrestation de Paul William Hampel à la fin de 2006 est un exemple frappant du niveau d'activité des Russes au Canada, notent-ils, consacrant un chapitre entier à ce mystérieux officier d'élite du service de renseignement extérieur russe qui se faisait passer pour un photographe.

« Les espions russes ne se contentent plus de piller les secrets économiques, industriels et commericaux. Ils ont aussi dans leur mire les opposants au régime en place. On parle de surveillance, d'intimidation, mais aussi éventuellement d'assassinat », écrivent MM. De Pierrebourg et Juneau-Katsuya.

Poissons de grands fonds

« Ces superespions, surnommés « poissons des grands fonds » par les Chinois, sont considérés de longue date comme des officiers d'élite. À la différence des espions présents « officiellement » sous couverture diplomatique, commerciale ou journalistique, ce sont des caméléons qui se fondent dans le paysage, où ils sont déployés après que leur service leur a forgé une légende. C'est-à-dire une fausse biographie, un passé et une vie inventée de toutes pièces, mais cohérente. (...) Les illégaux sont des investissements à long terme pour leur pays, qui les positionnent à certains endroits stratégiques en attendant une mission », ajoutent les auteurs.

Plus loin, ils nous apprendront que Paul William Hampel est débarqué d'un vol en provenance de Londres le 9 novembre 2006, soit six jours avant son arrestation. « Coïcidence troublante, signalent les auteurs, l'agent russe Alexandre Litvinenko a été empoisonné au polonium 210 dans le bar de l'hôtel Millennium le 1er novembre 2006 par « des individus que l'on soupçonne être des agents russes ». »

Que faire ?

Comme la menace ne risque pas de s'estomper, les deux experts croient que les gouvernements doivent agir immédiatement en donnant des outils légaux aux enquêteurs du SCRS et des forces policières pour accuser les fautifs et faire en sorte que les peines encourues soient sévères, comme c'est le cas ailleurs dans le monde, notamment aux États-Unis.

L'ouvrage prône également pour que les chefs d'entreprises canadiennes s'ouvrent les yeux et consacrent des ressources financières et humaines importantes pour protéger leurs technologies et leurs produits. Pour convaincre les gens d'affaires du sérieux de la chose, les auteurs soutiennent que la Chine a implanté 10 000 compagnies paravents au Canada et aux États-Unis, que la Russie en compte une centaine et l'Iran, « quelques dizaines ».

Ces compagnies bidon peuvent servir d'écran pour des importations illégales, mais elles servent aussi à voler des technologies. En faisant miroiter la promesse d'une coentreprise en Chine, par exemple, une compagnie peut ainsi se laisser berner et ouvrir toute grande la porte de son coffre-fort à secrets.

« Il faut que le gouvernement donne des outils aux entreprises. Actuellement, le gouvernement ne parle pas d'espionnage, et personne n'en voit, alors personne ne se protège », souligne Michel Juneau-Katsuya en entrevue.
Oraculo

Re: INTELIGENCIA CANADIENSE

Mensaje por Oraculo »

Livre: Vladislav Tretiak aurait été un informateur du KGB


MONTREAL — L'ancien gardien de but étoile russe Vladislav Tretiak aurait été un informateur du KGB au moment où il jouait au hockey et après sa carrière.

C'est une des révélations faites par les auteurs d'un livre qui porte sur les activités d'espionnage au Canada, intitulé "Ces espions venus d'ailleurs", aux éditions Stanké.

Affirmant posséder des sources dignes de foi, le journaliste Fabrice de Pierrebourg et le spécialiste en espionnage Michel Juneau-Katsuya affirment que Tretiak était un informateur rémunéré qui faisait du "recrutement" pour le KGB à l'époque de l'ex-Union soviétique.

Les deux auteurs soulignent que plusieurs citoyens russes bien en vue étaient ainsi sollicités pour effectuer des "tâches" pour le KGB, étant donné qu'ils étaient souvent appelés à sortir du pays.

Au Canada, le Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS) a enquêté sur Vladislav Tretiak. Malgré ses liens avec le KGB, le SCRS le considérait comme un "bon gars", soutiennent les deux auteurs.

L'ancien gardien de but, maintenant député du parti de Vladimir Poutine à la Douma, a refusé de commenter les allégations faites par les deux auteurs. Egalement président de la Fédération russe de hockey, Tretiak enseigne aussi dans une école de hockey estivale, à Toronto.

Selon "Ces espions venus d'ailleurs", les Russes seraient toujours très actifs dans leurs activités d'espionnage au Canada, tout comme les Chinois parmi tant d'autres. Le Canada disposerait de peu de moyens pour contrer ces activités, ayant sabré dans les budgets affectés à cette fin au cours des dernières années.
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